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Hacking
Accès non autorisé à des systèmes ou réseaux informatiques dans le but d'en exploiter les failles.
Introduction au Hacking
Le hacking désigne l'ensemble des techniques permettant d'accéder, souvent de manière non autorisée, à des systèmes informatiques ou réseaux. Cette pratique peut être utilisée à des fins malveillantes, mais également éthiques dans le cadre de tests de sécurité (pentesting). Le terme englobe une vaste gamme d'activités allant de l'exploration des failles logicielles à la compromission complète d'un système.
Types de hacking
1. Hacking éthique (White Hat)
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Utilisé par des professionnels pour identifier et corriger les vulnérabilités.
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Exemple : Test d'intrusion réalisé par un consultant en cybersécurité.
2. Hacking malveillant (Black Hat)
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Vise à exploiter des failles pour voler des données, installer des malwares ou saboter un système.
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Exemple : Piratage de bases de données pour dérober des informations sensibles.
3. Hacking gris (Grey Hat)
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Pratique située entre l'éthique et la malveillance. Le hacker informe parfois la victime après avoir découvert la faille.
4. Hacktivisme
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Utilisé à des fins idéologiques ou politiques.
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Exemple : Les attaques menées par le collectif Anonymous.
Techniques courantes de hacking
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Phishing : Leurrer un utilisateur pour obtenir ses identifiants.
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Injection SQL : Exploitation des failles dans les bases de données.
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Cross-Site Scripting (XSS) : Injection de scripts malveillants dans des pages web.
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Brute Force : Tentative systématique de mots de passe.
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Exploitation des failles Zero-Day : Utilisation de vulnérabilités inconnues des éditeurs.
Risques liés au hacking
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Vol de données sensibles (informations bancaires, identifiants).
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Interruption des services (attaques DDoS).
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Rançongiciels (ransomware) bloquant l'accès aux fichiers contre une rançon.
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Perte de réputation et sanctions légales pour les entreprises touchées.
Moyens de protection
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Mise à jour régulière des logiciels.
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Utilisation de pare-feux et antivirus.
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Authentification forte (MFA).
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Sensibilisation des utilisateurs aux risques.
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Tests de pénétration réguliers.